06 44 78 03 03 (horaires : soirs et week-end) contact@stoplinkyvarpaca.fr

Incendies de compteurs électriques : la faute au CPL

Article de Mediapart

Nous constatons fréquemment que des incendies se produisent dans des maisons qui ne sont pas forcément équipées elles-mêmes de Linky, mais qui se trouvent dans des communes et des quartiers où le CPL est déjà largement distribué, pour aller chercher des renseignements sur les Linky des voisins.

 

Ceci nous a interrogés et poussés à vouloir comprendre si ce CPL pouvait en être la cause et pourquoi.

 

De tels incendies ne démarrent pas nécessairement au niveau du compteur (surtout quand c’est un compteur traditionnel) mais fréquemment dans les combles de l’appartement. Là où se trouvent les « araignées » qui vont regrouper l’ensemble des connexions de nos câbles électriques.

 

Pourquoi ?

Les connexions se font le plus souvent à l’aide de dominos, dont la partie métallique n’a pas le même coefficient de dilatation que celui du cuivre à l’intérieur des câbles électriques.
Soumis à l’échauffement dû au passage du CPL, il risque de se produire des arcs électriques au niveau de ces connexions qui peuvent se desserrer.

D’autant plus que les très hautes fréquences envoyées par trains successifs, de façon continue, y ajoutent des trépidations.

 

Faire vérifier régulièrement le serrage optimum de ces connexions par un électricien est donc une nécessité, par souci de sécurité (nos assurances recommandent de le faire une fois par an. Peu de monde va y songer).

On nous a dit aussi que pour ne pas risquer d’endommager à la longue le cuivre des câbles de l’appartement à force de les resserrer, mieux vaut utiliser à la place des dominos des pièces spéciales (de type Wago) qui assurent par un ressort un serrage toujours adéquat.

 

Pourquoi le feu démarre-t-il souvent en cours de nuit ?

L’activité électrique sur le réseau est plus importante pendant que les informations collectées tout au long de la journée vont être recueillies pour les envoyer au centre de traitement de données.

À part, bien sûr, faire son possible pour convaincre le maximum de personnes de refuser ce matériel NON OBLIGATOIRE, nous pouvons ajouter des détecteurs de fumées dans nos appartements, et si possible un extincteur à poudre.

 

Site Mediapart : https://blogs.mediapart.fr/lenous/blog/130120/incendies-de-compteurs-electriques-la-faute-au-cpl?fbclid=IwAR2qkTdsh_PsFNltLci-teJvNDBRwVGFacqVD_NcipIx-VFDRwmR96JcufE

Site d’Henri Cohen :  https://www.stop-linky-68.com/home/category/Incendies

Risques d’Incendies – origines

Intro par Danièle

INCENDIES AVERES OU SOUPCONNES ET TROUBLES A L’ORDRE PUBLIC
COMPTEURS LINKY *

 

Les incendies d’origine électrique.
L’Observatoire national de la sécurité électrique (ONSE), estime que sur 27 millions de logements existants (dont 16 millions ont été construits avant 1974), 7 millions sont à risques (300 000 le deviennent chaque année) et 2,3 millions sont équipés d’installations très dangereuses. Si bien que 30% des 250 000 incendies domestiques répertoriés chaque année sont d’origine électrique.
(Source : L’Observatoire national de la sécurité électrique – ONSE)

– – – – – – – – – – – – – – – – – –

Nota : Des d’informations techniques font état d’une plus grande susceptibilité des compteurs communicants d’être impactés par la foudre

(https://takebackyourpower.net/smart-meter-fires-2016-video/)

– – – – – – – – – – – – – – – – – –

«ENEDIS EDF ERDF RTE, ment sur son plan de déploiement des compteurs Linky jusqu’en 2022, car il n’est pas respecté. On découvre que des villes qui devaient être équipées qu’à partir de 2018, ont déjà des dizaines ou centaines de compteurs Linky. Donc si EDF et vos détracteurs viennent affirmer que dans telle ville il ne peut pas y avoir d’incendie de compteur Linky, parce qu’aucun n’a été installé, c’est FAUX. Cela explique pourquoi vous avez des explosions et incendies de compteurs Linky dans les villes qui sont censées n’avoir que des anciens compteurs comme à Plouay, ou à Saint-Omer. Les informations fournies sur les sites d’EDF, ne sont pas fiables. En début de mois il peut y avoir un seul compteur Linky posé, et quand vous repasser en fin de mois, vous découvrez que tout le village comme celui de Saint-Riquier est totalement équipé. Quand les habitants se réveillent il est trop tard, et le maire d’un petit village ne peut pas s’opposer à un rouleau compresseur comme EDF ENEDIS qui passe son temps à mentir et a pratiquer le trafic d’influence. Un exemple, ENEDIS menteur professionnel a déclaré que les compteurs sont gratuits, ce qui est FAUX comme l’a démontré le rapport de la cour des comptes du 8 février 2018. Si ça ce n’est pas une Fake News, ou de la divulgation de fausses informations répréhensible par la législation en vigueur, il faut qu’on m’explique ce que c’est.»

(Source : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-compteur-linky-d-enedis-edf-est-201861)

Ci-dessous, un document PDF relatant des incendies est à votre disposition.

Parution SSIAP

 Les radiofréquences CPL émises par les compteurs Linky posent un grave problème de sécurité incendie car les câbles du réseau électrique ne sont pas conçus pour transporter des radiofréquences.

 Lors de l’expérimentation menée en France en 2010 dans seulement deux régions de France (Indre-et-Loire et région lyonnaise), plusieurs incendies ont été déclenchés.

EDF a publié le 15 juillet 2015 de nouvelles conditions générales de vente dans lesquelles tout incendie est assimilé à un cas de force majeure dans lequel ERDF dégage sa responsabilité. Cela signifie qu’en cas d’incendie provoqué par le compteur Linky ou par les radiofréquences qu’il injectera dans nos câbles et fils électriques, ainsi que dans les appareils électriques qui ne sont pas blindés contre ces radiofréquences, il appartiendra au client –c’est-à-dire à la victime– de prouver la responsabilité d’ERDF.

 

Info+ SSIAP.COM

Pourquoi le compteur électrique Linky brûle ?

LE 31 JUILLET 2019 PAR COLLECTIF SAÔNE-BEAUJOLAIS COMPTEURS LIBRES

A votre avis pourquoi les compteurs électrique Linky brûlent ?

Cela intéresse tout le monde, mais ça le laboratoire Lavoué ne vous l’explique pas, ni Enedis. En réalité il y a plusieurs raisons. Certains poseurs de compteur Linky sont passés du métier de boulanger, au métier d’électricien, avec une formation minimum, résultats :

  • Des bornes sont mal serrées, ce qui provoque un échauffement, et un incendie.
  • Les visses hexagonales ne sont pas la meilleure solution, à cause de l’usure de l’outil et je serais curieux de voir si tous les électriciens ont les embouts adaptés, et un tournevis dynanométrique.
  • Des fils sont branchés à l’envers, la phase est branchée à la place du neutre, et donc à la terre.
  • Des électriciens branche l’habitation en 380 au lieu du 230 V et tous les appareils domestiques sautent, et il faut tous les remplacer : chaudière, cumulus, les machines à laver, les téléviseurs, les écrans plats, les ordinateurs, l’électroménager, merci qui, merci Enedis.
  • Pour ceux qui sont alimentés en triphasé, l’inversion de phase peut se traduire par la destruction des matériels alimentés en triphasé chez les professionnels et les commerçants, qui ont des groupes frigorifiques triphasés.
  • Une partie de l’installation électrique ne fonctionne plus, normal, il manque une phase.
  • La surfacturation est lié au relais HC/HP non rebranché correctement le plus souvent.
  • Les borniers sont vissés sur une lamelle de cuivre, qui est soudée sur le CI. Si l’électricien force de trop, la soudure se fissure au niveau des points soudure de la lamelle de cuivre, surtout si elles sont mal faites. Par la suite avec l’échauffement et la dilatation, cela se traduit par une surchauffe
  • La pression mise sur les électriciens, fait que le boulot est fait à la va vite, résultat, ça flambe.
  • Ah oui, sur le compteur Enedis ne précise pas où est le côté EDF, là aussi le marquage laisse à désirer. Ce n’est pas en écrivant P et P’, et N et N’ qu’Enedis limite les erreurs de branchement sur les compteurs électrique Linky monophasé ou triphasé. C’est idiot et dangereux.
  • Quant à cette histoire de relais contacteur qui fait office de disjoncteur, il fait rire les experts, comme d’autres. Là aussi ce composant est une source de problème technique.
  • Les gaines de protection câbles d’arrivées électriques qui ont plus de 30 ou 40 ans peuvent partir en poussière, résultat, on a des arcages et incendies, et ce n’est pas systématiquement la faute de l’électricien si les installation EDF sont pourries. Enedis dira que c’est la faute du maire ou de l’installateur pour ce décharger. Sauf que si Enedis prétend que le compteur leur appartient ainsi que les tribunaux administratifs, dans ce cas c’est bien la faute d’Enedis. C’est un autre point de droit sur la responsabilité en cas d’incendie qui n’a pas été soulevé en justice.
  • Je ne parlerais pas ici des fréquences harmoniques qui peuvent provoquer des surchauffes, car cela n’a aucun intérêt pour les habitants. Ce sont les usines et grosses structures qui sont concernées.

Le changement d’unité de mesure est arrivée en 2010, au moment de la pose des premiers Linky.

La Puissance Active (en vert), est mesurée en kW.

La Puissance Réactive (en rouge), est mesurée en kVA.

La puissance active égale la puissance apparente multipliée par le cosinus phi compris entre 0,5 et 1

Plus il est proche de 1, moins l’appareil utilise de puissance réactive.

plus il est proche de 0, plus l’appareil utilise de puissance réactive.

Le compteur Linky qui intègre un disjoncteur interne, ne mesure plus seulement la puissance active, mais la puissance apparente = puissance active + puissance réactive. Une arnaque qui prétend vous faire faire des économies, alors que l’abonné est contraint de passer à l’abonnement supérieur, pour enrichir Enedis et ses actionnaires politiques bien informés.

 

Je vais aborder la partie des composants électroniques des compteurs Linky.

Des numéros sont présents sur la carte de puissance du compteur Linky, voir photo ci-dessous :

1- Plusieurs composants sont des sources de problème. Déjà nous allons commencer par parler de ce fameux relais contacteur (point 1) du Linky qui fait office de disjoncteur interne, c’est une aberration. Il est écrit sur le document EDF de 2016 à la page 7 :

« Le client peut entendre un bruit (vibration) émanant du compteur,

– Dans des cas beaucoup plus rares, l’échauffement peut conduire à une fonte du compteur. »

Cette phrase démontre qu’Enedis est parfaitement au courant que ses compteurs Linky ont un problème. Si après la pose le compteur vibre, c’est mauvais signe car une surchauffe peut conduire à un incendie. c’est qu’il y a déjà un problème, vous avez intérêt à rappeler l’installateur ou Enedis. Le contacteur interne à un autre problème, un aimant de forte puissance peut agir dessus, voilà pourquoi sa présence fait rire les spécialistes, y compris les pirates.

2- Le shunt (point 2) est emprisonné dans la lamelle cuivre. J’ignore comment il se comporte en cas de dilatation de la lamelle, à mon avis la précision de la mesure peut varier entre l’été et l’hiver.

3- Il y a la pile au lithium C2032 (point 3) dont la durée de vie est limitée à 10 ans, et qui en cas d’incendie provoque une détonation. En cas de panne du réseau électrique, cette pile sert à alimenter l’horloge interne du compteur, et la mémoire Flash EEPROM, qui contient tous les paramètres techniques.

4- Les varistances (point 4) sont aussi des composants fragiles en cas d’impacts foudre, surtout avec une tension limitée à quelques centaines de volts.

5- Nous avons ensuite les condensateurs électrochimiques (cylindres ronds), qui sont des sources de problème, surtout quand le Linky est installé dans un coffret extérieur. Entre l’été et l’hiver, les différences de températures sont importantes. Résultat, nous avons un vieillissement prématuré de ces condensateurs. Même des condensateurs neufs peuvent être inutilisables.

6- Les borniers sont serrés sur 2 lamelles de cuivre (Voir en bas de la page 6 du dossier Canard PC). La lamelle de cuivre rigide est soudée sur le CI. Si l’électricien force de trop, la soudure se fissure au niveau des points soudure des 2 lamelle de cuivre, surtout si elle a été mal faite. Par la suite nous aurons échauffement et de la dilatation, et cela se traduira par une surchauffe qui fera  « fondre » le compteur (sic), qui intoxiquera les habitants. Voir les rectangles rouges de l’agrandissement photo ci-dessous. De plus 2 pistes sont assez serrées pour provoqué un arc, surtout en cas de surintensité.

 

Alors pour les énervés du lobby d’Enedis qui vont venir affirmer que le compteur Linky ne brûle pas, je rappellerais à Enedis son document de 10 pages du 08/03/2016 dans lequel ils ont écrit à tous les maires de France, page 7, je cite : « Il n’y a pas de risque d’incendies lié aux compteurs Linky.

Dans des cas extrêmement rares, l’échauffement peut finir par générer la naissance d’une flamme au niveau du tableau de comptage. Avant d’en arriver à un départ de flammes, Il y a un certain délai qui dépendra de plusieurs facteurs….

S’ils veulent débattre en justice de l’existence de ce document, il n’y a aucun problème. J’ai enregistré tous ces documents sur des clefs USB. Il faut quand même être idiot pour écrire une telle ineptie, pour venir dire que le compteur ne brûle pas, et dire plus loin qu’il peut y avoir « la naissance d’une flamme », c’est du grand n’importe quoi.

Conclusion.

Voilà un topo rapide de tous les problème que j’ai constaté à partir des photos divulguées dans le dossier Canard PC en date de janvier février 2016. Ils avaient déjà souligné des points de faiblesse au niveau de quelques composants électroniques du compteur. Je n’ai fait que rajouter quelques points manquants. En plus il faut savoir qu’il y a 6 fabricants de compteurs, ce qui veut dire que leur électronique n’est pas forcément identique.

par Marc Filterman extrait de cet article :

Analyse de la note du laboratoire Lavoué sur le Linky par Marc Filterman

Le terrorisme industriel (TI) ne connaît actuellement plus aucune limite. Alors question aux parlementaires macroniens et au Président Macron, après le fichier  »S », à quand un fichier  »TI », pour y ficher tous les groupes français et étrangers qui pratiquent le « Terrorisme Industriel » ? – Ce n’est pas demain la veille, car en France les agences de l’intelligence économique à la solde des groupes surveillent plus facilement les ONG qui dénoncent les crimes de l’industrie. Les gouvernements ne font rien contre les industries criminelles, qui en plus pratiquent la corruption politique, le trafic d’influence, et je ne parle même pas des conflits d’intérêts qui sont généralisés.

 

En mars 2018, j’avais écrit un article sur les risques d’incendie du compteur électrique Linky en utilisant des citations du laboratoire Lavoué qui ont été extraites de leur document du 30/01/2014 (http://www.laboratoire-lavoue.fr/wp-content/uploads/2015/12/2.-Incendies-Electriques-expertis%C3%A9s-par-le-Laboratoire-Lavou%C3%A9.pdf).

Je dois remercier dans son post du 3 juillet, Neptunus pour m’avoir communiqué sur le forum de mon dernier article du 26 juin 2018 sur les incendies électriques des compteurs Linkyla dernière note du 23 mai 2018 du laboratoire Lavoué qui est en même temps expert judiciaire auprès du tribunal de Poitiers. Neptunus qui n’est pas à une approximation prête écrit :

« Vous noterez qu’il s’agissait des compteurs électroniques antérieurs aux compteurs Linky.

C’est totalement FAUX, c’est de la manipulation au service d’Enedis puisque la pose des compteurs Linky a débuté dès 2010. Chacun peut lire sur la note du laboratoire Lavoué de janvier 2014, que les problèmes d’incendies se produisait « plus fréquemment au niveau des compteurs électroniques (nouvelle génération), » mais visiblement Neptunus a zappé ce passage.

Vous pourriez au moins avoir l’honnêteté intellectuelle de rapporter le récent communiqué du même laboratoire sur les compteurs Linky. » qui a été publié le 23/05/2018 et que je n’avais pas.

Problème, après analyse de cette note du 23/05/2018, je constate un changement de ton, et la présence de plusieurs incohérences qui sont en faveur d’Enedis. Le laboratoire Lavoué parle des agressions contres des poseurs, mais il n’y a pas un seul mot sur les agressions physiques, les menaces, les harcèlements, qui sont faites contre les personnes âgées par les sous-traitants d’EDF Enedis. Cela en dit long sur l’orientation du laboratoire en faveur d’Enedis, alors qu’il fait parti des experts judiciaires. Toutefois cette note présente un intérêt, car elle confirme plusieurs points.

Le laboratoire Lavoué écrit :

P1- « Depuis fin 2015, début de son installation à grande échelle, le compteur électrique « intelligent » Linky est en effet suspecté tour à tour de collecter des données personnelles sans consentement… »

Déjà le laboratoire Lavoué commence très mal, puisqu’environ 300.000 compteurs Linky ont été installé dans la période de 2010 à 2011. Ensuite il n’est pas suspecté, il transmet bien des données au site de contrôle de Lyon. De plus Lavoué écrit en page 2 :

P2 – Le Linky « ne se contente pas de compter puisqu’il communique les données de consommation et ce non pas tous les six mois lors du passage du releveur, mais tous les jours avec le détail de la consommation de la veille, demie heure par demie heure. »

Le laboratoire Lavoué confirme bien que le compteur Linky se comporte bien comme un espion, un mouchard, comme nous l’avons vu dans l’émission « Envoyé Spécial, » à la minute 25:34. Sauf qu’Enedis pourrait descendre au pas de 10 minutes, ce qui arrivera à terme. Les abonnés peuvent se consoler en se disant que les hackers pourront aussi pirater les concentrateurs pour espionner la vie privée des maires, des députés, des sénateurs, des conseillers généraux et régionaux, des ministres, des chefs de l’administration et autres. Le monde politique est très incompétent et pas très intelligent, la preuve, il se tire une balle dans le pied.

P2 – Lavoué précise en bas : « Il s’agit pourtant d’une technologie déjà très répandue et utilisée de façon beaucoup plus massive pour distribuer internet dans toutes les pièces d’un logement via des circuits électriques existants, et même déjà pour le basculement des heures creuses pour les compteurs électromagnétiques actuels. »

Le Laboratoire d’expertise Lavoué manipule la vérité. Il affirme que le CPL existe depuis longtemps, c’est exact, mais en revanche il oublie juste de préciser plusieurs points :

  1. Le basculement avec l’ancien CPL HP / HC ne durait pas plus d’une minute le matin et le soir.
  2. Il n’y avait aucun enregistrement journalier des données de la consommation des habitants.
  3. Le signal téléphonique et internet circule dans un câble dédié. Par la passé les câbles étaient en plus blindés, ce qui n’est plus le cas, raison de la mauvaise qualité des transmissions maintenant.
  4. Le CPL actuel se propage dans la totalité du réseau électrique de votre habitation, et dans vos appareils domestiques. Il couvre la bande Cenelec A, spectre de 3 à 95 Khz, norme NF EN 5065-1.

P3 – Lavoué précise : « En outre, le compteur Linky, à la différence des téléphones portables par exemple, ne communique que quelques secondes par jour, entre minuit et 6 heures du matin et il émet à ce moment là un champ électromagnétique de 0,8 volt/mètre. »

ARCHI-FAUX Mise au point, le laboratoire Lavoué aurait bien été inspiré de consulter le rapport du CSTB avant d’écrire une telle ineptie. Le CPL n’a rien à voir avec la téléphonie mobile. Le signal CPL est permanent malgré les protestations d’Enedis qui a pratiqué le trafic d’influence pour essayer de faire croire que c’était faux. Le compteur Linky et le CPL rayonnent des ondes de façon permanente qui peuvent perturber des sites sensibles. Il suffit d’utiliser un poste de radio à 30 cm du compteur Linky pour le constater, même derrière un mur de pierre. C’est surprenant qu’un laboratoire et d’autres ne sachent pas faire ce type de test très simple.

  1. Le signal CPL G1 (S-FSK, 63,3 et 74 KHz) et G3 (OFDM sur 36 porteuses, 35,9 à 90,6 KHz, avec protocole internet IPV6) est permanent sur le réseaux électrique 230 V.
  2. Le compteur Linky communique avec le concentrateur, mais pas seulement.
  3. Les compteurs électriques Linky d’une même grappe communiquent entre eux. Quand l’un d’eux tombe en panne, toute la grappe peut tomber en panne, information révélée à l’époque par le médiateur de l’énergie dans l’émission « On n’est pas des pigeons ». Cette émission a malheureusement disparu après ce reportage. Le rapport du CSTB du 27/01/2017 précise Page 8 :

« Les niveaux d’émission sont identiques pour l’ensemble des trames émises, et ne dépendent pas de la distance entre le concentrateur et les compteurs. En revanche, ces niveaux peuvent varier en fonction de l’impédance du réseau mais aussi du modèle de compteur, tout en restant conformes au gabarit autorisé par la norme. »

CSTB P24 – « Le niveau maximum de champ magnétique mesuré avec communication CPL Linky est environ dix fois supérieur au niveau maximum mesuré sans communication CPL (niveau de bruit ambiant au point de mesure). »

P3- Le laboratoire écrit : « L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) l’affirme en tout cas dans deux rapports en déclarant que le niveau d’émission d’ondes du Linky est très faible, de même niveau qu’une plaque à induction, un sèche-cheveux, un réfrigérateur ou un téléviseur »

Ce n’est pas la première fois que l’ANSES s’est fait sonner les cloches. Certains de ses experts étaient en situation de conflits d’intérêts, et nous les retrouvons tous dans l’association AFIS sur les Pseudo-sciences. Certains de ces prétendus experts n’ont jamais travaillé sur des sources micro-ondes. Je ne sais pas qui a écrit une telle connerie à l’ANSES, mais son cas relève de la psychiatrie. Il faut de plus faire une distinction entre le champ magnétique du réseau, et le champ électrique qui sont deux choses différentes. On utilise des récepteurs de mesure pour vérifier si les appareils testés en émissivité respectent bien les normes vigueur, mais on ne fait pas des comparaisons idiotes avec des sèche-cheveux ou plaques à induction.

P3 – Le laboratoire écrit : « Dans une précédente étude réalisée en 2014 (donc antérieure à l’installation généralisée des compteurs Linky »

ARCHI-FAUX, c’est de manipulation en faveur d’Enedis EDF. Les premières poses du compteur électriques Linky ont débuté en 2010, avec 270.000 compteurs posés jusqu’en mai 2011, et il y a eu 8 incendies. C’est surprenant qu’un expert judiciaire ignore ce point. Ensuite des poses ont continuées et un nouveau déploiement a eu lieu en 2015.

P4 – Le cabinet Lavoué précise dans sa note de mai 2018 que les incendies se déroulent :

« pratiquement jamais au niveau d’un compteur électromécanique (ancienne génération) mais parfois par contre au niveau des compteurs électroniques. »

Par rapport à la note du laboratoire Lavoué de janvier 2014, ils ont supprimé cette fois dans la présente note du 23 mai 2018 la mention « nouvelle génération », c’est à dire sous-entendu celle du Linky, et ils ont rajouté le mot « parfois. » Le laboratoire Lavoué essaye de minimiser les risques du Linky comme il peut.

P4 – Le cabinet Lavoué écrit « sur les 300.000 compteurs Linky testés en cinq ans (de 2010 à 2015) pendant la phase d’expérimentation, 8 cas d’incendies (ou plutôt départs de feu) ont été recensés par ENEDIS, soit 1 compteur sur 37.500 »

ARCHI-FAUX et contradictoire. Sur la période de 2010 à 2011, ce sont 270.000 compteurs Linky qui ont été posés et c’est pour cette période que 8 incendies ont été signalés. De plus les incidents suite à l’inversion phase neutre lors de la pose, ne sont pas signalés dans les rapports. Mais là nous n’avons aucune information, et il ne faut pas compter sur Enedis pour en obtenir. A chque incendie les compteurs Linky disparaissent avant l’arrivée des experts.

P4 Le laboratoire Lavoué écrit : « si l’on extrapole ce chiffre aux 35 millions de compteurs Linky qui devraient être installés d’ici 2021, on obtient un nombre de 186 départs de feu au niveau de compteurs Linky/an à l’issue du programme d’installation. 1 départ de feu de compteur Linky pour 752 incendies de bâtiment, ce n’est certes pas négligeable mais ce n’est pas particulièrement alarmant non plus, s’agissant d’une phase d’expérimentation. »

Le laboratoire Lavoué parle donc ici d’un départ de feu pour 752 incendies, mais pour seulement la phase d’expérimentation de 270.000 compteurs, et non pas pour les 35 millions de compteurs. Que l’expert aille dire ça aux victimes du compteur électrique Linky qui sont dans les emmerdes jusqu’au cou grâce à Enedis, ils vont apprécier la plaisanterie. Sauf que là ce laboratoire parle des incendies du compteur Linky, mais pas du tout des incidents et des pannes suite à la pose d’un compteur Linky, qui ont généré jusqu’à plusieurs milliers d’euros de dégât chez un habitant, à multiplier par plusieurs milliers de victimes inconnues, surtout quand les poseurs ont branché le compteur à l’envers par exemple.

P4 Le laboratoire Lavoué écrit : « sur les 300 000 compteurs Linky testés en cinq ans (de 2010 à 2015) pendant la phase d’expérimentation, 8 cas d’incendies (ou plutôt départs de feu) ont été recensés par ENEDIS, soit 1 compteur sur 37 500. »

ARCHI-FAUX, c’est ce que j’appellerais une superbe Fake News, car ce sont 270.000 compteurs électrique Linky qui ont été posés sur la période de 2010 à 2011. Ils ont généré 8 incendies, soit 1 sur 33.750, et en plus on ne tient pas compte des incidents suite à des mauvais branchements. Mais là sur ce point, toutes les informations sont censurées, donc tous les rapports d’évaluation rédigé à la suite de la phase d’expérimentation sont frauduleux. D’ailleurs c’est vérifiable, puisque même les incendies à la suite à la phase de test ne figurent pas dans le rapport d’évaluation du CRE par exemple, idem pour les autres.

P5 – « pour ENEDIS, ces départs de feu étaient dus à « un défaut de serrage ayant provoqué un court-circuit et qui peut se produire tout autant avec un compteur traditionnel  »,

Pourquoi cette information ne figure pas dans les rapports officiels. Il y a eu des dissimulations et combien d’autres ?

P5 – « 10 millions de foyers ont déjà été équipés de compteurs Linky. On pourrait donc s’attendre à un pic de sinistralité lié notamment à un nombre d’installations très important… très peu d’incendies sont imputés aux compteurs Linky(**) »

(**) Le laboratoire d’expertise Lavoué se base sur quoi pour faire cette affirmation. Nous avons au moins un incendie par semaine après la pose d’un compteur Linky, pour ne pas dire DEUX. Je vais faire comme Neptunus, je vais demander au laboratoire Lavoué qu’elles sont leurs sources ? Où sont les rapports statistiques ? Même sur le site de l’ONSE nous ne trouvons aucun rapport. Il faut dire que ses membres appartiennent au lobby de l’électricité. Je rappellereis au passage que la revue LeMoniteur avait lui-même révélé le 26/02/2016, une forte augmentation des problèmes électrique à partir de 201é : « Le nombre des dégâts électriques explose en France / le nombre de dégâts électriques a doublé entre 2012 et 2013 pour s’établir à 600.000, » eh oui, pas de bol pour les désinformateurs.

https://www.lemoniteur.fr/article/le-nombre-des-degats-electriques-explose-en-france.1079589

P5 Le laboratoire Lavoué ose écrire :« en ce qui concerne notre laboratoirenos experts sont intervenus sur environs 2500 incendies depuis fin 2015 et nous avons identifié…0 incendie causé par un départ de feu au niveau d’un compteur Linky »

Leur laboratoire n’a jamais vu un seul incendie au niveau du Linky, mais il ne parle pas des autres. Il est vrai que dès qu’il y a un problème avec un linky, Enedis estle premier a arriver sur place pour faire disparaître les preuves, comme l’ont constaté plusieurs experts en assurance. Je suggère au laboratoire Lavoué de lire la presse, de lire mon article de mars 2018, et de regarder la photo de mon article de juillet 2018. Je pense que là, la crédibilité de ce labo et de ses experts vont en prendre un sacré coup. Comme l’a confirmé un expert à l’assemblée nationale, ou même des victimes, Enedis arrive le plus souvent le premier sur les lieux d’un incendie et fait disparaître les preuves. Nous avons même des cas où Enedis affirme qu’il n’y avait pas de compteur Linky et qu’il y avait un ancien compteur électromécanique, alors que c’est FAUX.

 

Incendie et décès à Laxou.

P5 – Le laboratoire Lavoué parle d’un article, « où l’on pouvait lire et entendre sur les réseaux sociaux, que « le compteur Linky avait fait son premier mort le Mercredi 7 mars ».

Le laboratoire Lavoué reparle du décès dans l’incendie de Laxou, mais il devrait relire la presse de l’époque. Car d’un côté l’expert du tribunal déclare qu’il n’y avait pas de Linky car il était classique, et de l’autre côté Enedis affirme le 13 mars que le compteur Linky était à l’extérieur de l’appartement. Cela serait risible s’il n’y avait pas eu un mort. Je signale qu’il est possible de déclencher des incendies à distance sur des appareils électriques. J’espère que le laboratoire Lavoué a préciser cette information. Voici les faits datés décrits par la presse.

Le 7 mars, un feu se déclarait dans un appartement situé au premier étage d’un immeuble à Laxou – Champ-le-Bœuf, 3 rue de l’Ornain. Les secours découvrent le corps du locataire de 44 ans…/…

Le 8 mars à Laxou, l’Est Républicain écrit :

« un feu violent, totalement confiné dans ce petit appartement situé au 1er étage de cet immeuble à huit niveaux. (…) Le compteur électrique fondu témoignait d’un important dégagement de chaleur tout comme les déblais carbonisés évacués par les pompiers.. (…) Le corps du quadragénaire était ensuite transporté à l’Institut médico-légal (IML) de Nancy pour autopsie. Un acte de médecine légale qui devrait permettre d’identifier les causes de la mort. Un décès probablement causé par les fumées toxiques.

Un expert en incendie a été désigné. Le spécialiste va passer l’appartement au crible dans l’espoir de remonter à la source du départ de feu. »

De plus il était précisé déjà précisé sur la carte d’Enedis qu’ils avaient totalement fini d’équiper la ville de Laxou en compteur Linky, pas de bol.

Le 13 mars un communiqué de presse ENEDIS, précise :

« Le compteur électrique est situé à l’extérieur de l’appartement. Il se situe en effet dans la gaine des parties communes de l’immeuble. Le compteur Linky est parfaitement intact. »

Le 14 mars l’Est Républicain publie l’info suivante :

« Selon l’expert, le compteur électrique – qui est un compteur « classique » – est situé à l’extérieur du logement et n’a aucun rapport avec la survenue de l’incendie. »

Vous avez bien lu, l’expert parle d’un « compteur classique  » Vous pouvez observez la parfaite coordination entre Enedis, le premier dit qu’il y a un compteur Linky, pendant que le second affirme qu’il s’agit d’un compteur classique. Mieux je découvre grâce à Neptunus, suite au lien qu’il m’a communiqué pour la note du 23 mai 2018 du laboratoire Lavoué, que l’expert qui avait été nommé était Lavoué justement, et nous pouvons lire page 6 :

« Etant intervenu sur cet incendie à la demande du Parquet de Nancy (qui a depuis communiqué sur ce sinistre), nous pouvons affirmer que le compteur Linky du logement incendié était complètement hors de cause. »

Le 14 mars dans l’Est Républicain l’expert parle d’un « compteur classique », et dans sa note du 23 mai 2018 il parle d’un compteur Linky, je n’invente rien. Suite à un incendie compteur Linky dans un immeuble à Laon, il y a eu aussi des blessés, silence à la radio et à la télé.

P6 – La laboratoire Lavoué écrit : « je tiens à souligner que l’on ne peut pas accuser notre laboratoire (totalement indépendant) de complaisance vis-à-vis d’ENEDIS  »

La note du laboratoire Lavoué de janvier 2014, était très claire, elle mettait en cause les compteurs de « nouvelle génération », sur cette note du 23 mai 2018, tout le monde peut constater que dès le départ, elle prend fait et cause pour Enedis et ses poseurs, c’est une réalité. Il n’y a aucune mention sur les agressions des abonnés, cela pose question quand même, non.

 

vendredi 13 juillet 2018

 

Incendie avec explosion à Roquevaire (13)

Voici l’article concernant l’incendie de Linky avec explosion à ROQUEVAIRE (13)

Une expertise indépendante a mis au grand jour, ce que nous affirmons depuis longtemps : le problème du breaker. – Voici des extraits de l’expertise et photos ci-dessous.

Cliquez ici pour découvrir la lettre adressée à la FNCCR par un Officier Supérieur Honoraire de Gendarmerie